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renouvellement urbain d’un site industriel en cœur de ville
Les quartiers autour des Jardins d’Alfortville, sont marqués par une grande disparité de typologies urbaines allant des tissus pavillonnaires en RDC aux tours en R+18. La reconstitution d’un tissu urbain aux Jardins d’Alfortville répond à cette rupture d’échelle par un épannelage progressif du bâti accompagné d’un travail de paysage.
La libération du site des deux hangars offre la possibilité de reconnecter les quartiers situés de part et d’autres de la rue Etienne Dolet et de multiplier les percées visuelles d’un quartier à l’autre.
Le raccordement des impasses existantes à la rue structurante permet de simplifier l’organisation viaire, de mieux irriguer l’ensemble du quartier, et de desservir deux macro lots constructibles. La prolongation du mail piéton est complétée de sentes piétonnes transversales qui s’étendent visuellement jusqu’aux rues de dessertes et à la Seine plus loin. Ce maillage piéton prolonge l’espace vert, aujourd’hui confidentiel au pied des tours d’habitation, vers la rue Etienne Dolet. En s’ouvrant sur le reste des quartiers, cet espace vert se transforme en véritable parc paysager à l’échelle de la ville. Le cœur paysager entre les deux macros lots constitue une façade ouverte sur la rue Etienne Dolet et appuie la nouvelle image de parc central à Alfortville.
Une réorganisation du réseau viaire pour renforcer les connexions entre quartiers, implique la démolition de certains verrous urbains. La relocalisation du groupe scolaire Georges Lapierre permet de développer le parc central de la rue Etienne Dolet jusqu’au mail piéton en cœur du grand ensemble. Elle permet également de reconnecter les deux impasses existantes (Redoutes des petits Quarreaux et Allée du 8 Mai 1945), pour constituer une voie de desserte parallèle à la rue Etienne Dolet. Le groupe scolaire sera reconstitué sur site par un phasage de travaux.
La démolition du centre commercial donne la possibilité de réaménager tous ces espaces libres et peu lisibles, dédiés aujourd’hui au stationnement. Un véritable tissu urbain où la voiture passe en second plan sera alors aménagé.
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Les quartiers autour des Jardins d’Alfortville, sont marqués par une grande disparité de typologies urbaines allant des tissus pavillonnaires en RDC aux tours en R+18. La reconstitution d’un tissu urbain aux Jardins d’Alfortville répond à cette rupture d’échelle par un épannelage progressif du bâti accompagné d’un travail de paysage.
La libération du site des deux hangars offre la possibilité de reconnecter les quartiers situés de part et d’autres de la rue Etienne Dolet et de multiplier les percées visuelles d’un quartier à l’autre.
Le raccordement des impasses existantes à la rue structurante permet de simplifier l’organisation viaire, de mieux irriguer l’ensemble du quartier, et de desservir deux macro lots constructibles. La prolongation du mail piéton est complétée de sentes piétonnes transversales qui s’étendent visuellement jusqu’aux rues de dessertes et à la Seine plus loin. Ce maillage piéton prolonge l’espace vert, aujourd’hui confidentiel au pied des tours d’habitation, vers la rue Etienne Dolet. En s’ouvrant sur le reste des quartiers, cet espace vert se transforme en véritable parc paysager à l’échelle de la ville. Le cœur paysager entre les deux macros lots constitue une façade ouverte sur la rue Etienne Dolet et appuie la nouvelle image de parc central à Alfortville.
Une réorganisation du réseau viaire pour renforcer les connexions entre quartiers, implique la démolition de certains verrous urbains. La relocalisation du groupe scolaire Georges Lapierre permet de développer le parc central de la rue Etienne Dolet jusqu’au mail piéton en cœur du grand ensemble. Elle permet également de reconnecter les deux impasses existantes (Redoutes des petits Quarreaux et Allée du 8 Mai 1945), pour constituer une voie de desserte parallèle à la rue Etienne Dolet. Le groupe scolaire sera reconstitué sur site par un phasage de travaux.
La démolition du centre commercial donne la possibilité de réaménager tous ces espaces libres et peu lisibles, dédiés aujourd’hui au stationnement. Un véritable tissu urbain où la voiture passe en second plan sera alors aménagé.
Tous droits réservés – 3m3 architecte